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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Écrivains du Canada anglais (9 de 10): Doug Jones |
Date de création
| 1998-06-11 |
Durée du segment | 00:28:45 |
Invités | Bouchard Danielle, lectrice; Jones Douglas, auteur, poète; Ray Allan Wood |
Artisans | Durand Monique, réalisatrice, animatrice; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Première de deux entrevues réalisées par Monique Durand avec l'écrivain Doug Jones, chez lui à North Hatley. Douglas Gordon Jones raconte son enfance à Bancroft, petit village ontarien où son père était marchand de bois. Il évoque sa découverte de la poésie au secondaire et ses premiers pas en écriture. Selon lui, on devient poète en lisant d'autres poètes. C'est à travers la poésie qu'il est venu à aimer la langue française. Il aimait des écrivains comme Mallarmé qui était très différent des auteurs anglo-saxons. Après des études littéraires, il enseigne dans plusieurs universités jusqu'à son arrivée à l'Université de Sherbrooke, où il enseignera pendant 30 ans. En 1958, il est invité à une rencontre d'écrivains du Québec dans les Laurentides. Il rencontre Gaston Miron, Michèle Lalonde, Jacques Godbout, Yves Préfontaine et d'autres. Il est étonné de la frustration qu'il sent chez ces poètes, et en même temps émerveillé de voir des artistes qui veulent recréer le monde. Il est séduit par l'énergie de la poésie politique. Il va traduire certains poètes québécois et même composer des poèmes en français. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Colloques et rencontres — Littérature — Littérature anglo-canadienne — Littérature française — Poésie — Souvenirs |
Identifiant | 1260882 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Écrivains du Canada anglais (10 de 10): Doug Jones |
Date de création
| 1998-06-12 |
Durée du segment | 00:28:40 |
Invités | Bouchard Danielle, lectrice; Jones Douglas, auteur; Ray Allan Wood |
Artisans | Durand Monique, réalisatrice, animatrice; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Dernière de deux entrevues réalisées par Monique Durand avec l'écrivain Doug Jones, chez lui à North Hatley. Douglas Gordon Jones est un poète de la nature. Les thèmes de son oeuvre tournent principalement autour des paysages, de la nature et de la quotidienneté. Ray Allan Wood décrit la poésie de Doug Jones comme appartenant au modernisme anglo-américain. Doug Jones écrit une poésie imagiste, une poésie directe avec un vocabulaire simple même s'il parle de notions complexes. Il a traduit "La marche à l'amour" de Gaston Miron. Il évoque la parenté spirituelle qu'il ressent vis-à-vis celui-ci. Il mentionne deux poètes québécois qui l'ont influencé dans sa façon d'écrire, Anne Hébert et Normand de Bellefeuille. Pour lui, la poésie n'a pas de frontières ni de patries, mais notre environnement influence notre écriture. Pour Ray Allan Wood, Doug Jones est le poète des poètes. S'il est peu étudié, il est respecté dans le milieu littéraire et il a influencé d'autres poètes. Doug Jones est un homme solitaire, qui regarde. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Littérature — Littérature anglo-canadienne — Poésie — Traduction |
Identifiant | 1260885 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Créations et procréations (3 de 3) |
Date de création
| 1998-06-17 |
Durée du segment | 00:57:48 |
Invités | Huston Nancy, écrivaine; Gagnon Madeleine, écrivaine; Jurgenson Luba, écrivaine russe; Boukjobza Chochana, écrivaine tunisienne |
Artisans | Dumais Doris, réalisateur; Durand Monique, animatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Troisième de trois émissions sur la création littéraire chez les femmes. Monique Durand s'entretient avec l'écrivaine russe Luba Jurgenson, l'écrivaine tunisienne Chochana Boukhobza, l'écrivaine québécoise Madeleine Gagnon et l'écrivaine canadienne-anglaise Nancy Huston. Les thèmes de l'écriture et de la maternité sont abordés lors de cette émission. Nancy Huston affirme que le fait d'avoir des enfants l'a aidée à devenir un meilleur écrivain. Madeleine Gagnon pense que cela a joué dans les deux sens. Elle est devenue un meilleur écrivain et elle était une meilleure mère car elle faisait une oeuvre de création. Les notions de pulsions de vie et de pulsions de mort dans la maternité sont discutées. Pour les quatre écrivains la maternité a été importante dans leur vie. Nancy Huston insiste sur l'importance pour les hommes et les enfants d'avoir des contacts physiques ensemble. Dans l'œuvre de Madeleine Gagnon, on remarque les thèmes de l'enfantement de la vie et l'enfantement des mots qui se retrouvent souvent. Madeleine Gagnon et Nancy Huston parlent de l'époque où elles lisaient des textes d'Hélène Cixous. C'était une période où il fallait affirmer sa différence comme femme. Aujourd'hui, elles ont pris de la distance face à ce courant de pensée. Elles répondent à la question "Pourquoi les femmes s'identifient-elles physiquement à ce qu'elles créent?" Madeleine Gagnon et Nancy Huston sont d'accord pour dire qu'aujourd'hui la société est mieux organisée pour permettre aux femmes de créer.
Lecture de certains extraits: "Les cathédrales sauvages" de Madeleine Gagnon, lue par Nancy Huston, "L'infante immémoriale" de Madeleine Gagnon, lue par Madeleine Gagnon, "Journal d'une création" de Nancy Huston, lue par Nancy Huston, "Mère et poète" de Elizabeth Barrett Browning, lue par Nancy Huston. |
Mots clés | Femmes — Littérature — Littérature anglo-canadienne — Littérature étrangère — Poésie — Roman — Société |
Identifiant | 1261067 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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